PROJETS, ACTIONS, TRAVAUX

Semaine des Arts

Une image, un son, un texte : le travail des 6°3 sur l'exposition.

Par VALERIE VERVAECKE, publié le mardi 30 mai 2023 16:42 - Mis à jour le vendredi 2 juin 2023 11:38
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Lisez les textes écrits en cours de français par les 6°3 qui ont travaillé sur l'exposition de PAHLM, Une image, un son.

L'Expo

How trees secretly talk to and share with each other and me

J’ai l’impression d’avoir creusé dans la terre au pied d’un arbre pour pouvoir m’échapper de ce confinement ; un trou où je voudrais passer mais quand j’essaie, je ne peux pas ! En effet il y a trop de racines, il y en a tellement que, même si on les coupait, on ne pourrait toujours pas s’échapper ! Il y en a de tous les côtés et en profondeur, je n’ai jamais vu des racines d’arbres aussi épaisses !

Ce serait triste de leur couper leur moyen de communication ! Nous, les humains nous sommes confinés mais les arbres eux, peuvent se voir !

Jeanne 6°3

 
Chairs

Le triptyque CHAIRS m’inspire l’angoisse d’avoir le COVID 19, représentée par la chair ; cette œuvre me fait penser à ma vie si j’avais cette maladie et elle m’angoisse. Pendant le confinement on a passé de bons moments, avec ma famille ! J’ai passé du temps avec mes animaux ; cette chair me fait penser à la leur. La musique est effrayante comme la maladie.

 Dylan, 6°3

 

Je suis à côté d’une vague ; j’entends le sable qui glisse.

La femme a l’air de se reposer sur un hamac.

Elle a l’air d’être relaxée grâce la musique douce.

June, 6°3

 

Green afro

Il était une fois où un beau jour s’annonçait mais c’était sans compter sur Hermione, une fille plutôt spéciale car elle avait une tête de plante. Hermione s’était levée du mauvais pied ; elle était capable de faire beaucoup de choses négatives et cela arriva ! Elle commença à s’énerver sans aucune raison et elle cassa tout jusqu’à ce que son père arrive. Il lui mit une musique intitulée « Jungle » et Hermione se calma aussitôt pour s’endormir sur cette douce mélodie.

Elliot, 6°3

 

Un jour pendant le confinement j’ai décidé d’aller dans mon jardin vert et de ne faire plus qu’un avec la nature.

Je me suis mis une plante sur la tête.

J’étais cette plante.

Erol, 6°3